Historique


16, Avril
Vous connaissez  «La Bolduc»?

L'histoire de Mary Travers dite : « La Bolduc » prend ses racines à Newport, en Gaspésie, à la fin du dix-neuvièmeL'histoire de Mary Travers dite : « La Bolduc » prend ses racines à Newport, en Gaspésie, à la fin du dix-neuvième siècle.  Elle est le conte de fées d'une ménagère du Québec qui est passée de la condition de pauvre inconnue à celle de phénomène de l'industrie du disque des années 1930. 



Cette femme ordinaire, toute traditionnelle, est devenue l'extraordinaire porte-parole musicale de son temps et de ses contemporains, se méritant le titre de « Reine des chanteurs folkloriques canadiens ». 

Découvrez sa vie, son oeuvre, son époque... siècle.  Elle est le conte de fées d'une ménagère du Québec qui est passée de la condition de pauvre inconnue à celle de phénomène de l'industrie du disque des années 1930. 

Cette femme ordinaire, toute traditionnelle, est devenue l'extraordinaire porte-parole musicale de son temps et de ses contemporains, se méritant le titre de « Reine des chanteurs folkloriques canadiens ». 



Découvrez sa vie, son oeuvre, son époque...
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5, Avril

Rassemblement du Premier mai.


Affiche trilingue (yiddish, français et anglais) annonçant un rassemblement ouvrier du Premier mai contre la montée du fascisme.
Milieu des années 1930.
Source : Bibliothèque publique juive. Fonds affiches.


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26, Mars


La Bolduc -- « Reine des chanteurs folkloriques canadiens »







24, Mars

Ovila Légaré - " J'en arrache " (1930)






22, Mars







18 Mars
‪Olivier Guimond et Paul ‬Desmarteaux






16, Mars
Olivier Guimond, Paul Berval, Denis Drouin

"ZÉRO DE CONDUITE" (Radio-Canada, 1965, 26 mins.)
*animateurs; Paul Berval, Denis Drouin, Olivier Guimond.
*invités; Michel Louvain (2 chansons), Fernande Giroux, Les Brics-À-Bracs.


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10, Mars

Un grand artiste de vaudeville Manda Parent





La pièce se déroule en 1938, année de l'annexion de l'Autriche par Hitler; au Québec la crise économique règne encore, et la toute puissance du clergé atteint un sommet en s'alliant à Duplessis (élu en 1936) pour proclamer la Loi du cadenas en 1937. Le prétexte de la loi c'est la lutte au communisme, mais cette mesure législative est destinée en fait  à étouffer toute rébellion chez les ouvriers et les libre-penseurs.

1938, c'est aussi l'époque des tournées de La Bolduc, de La Poune, de la troupe d'Arthur Pétrie et de bien d'autres comédiens de vaudeville; ils apportent un souffle de liberté que les classes dominantes (Eglise alliée à Duplessis) voudraient bien éteindre.

La pièce revisite un aspect peu connu de notre histoire.    Au Québec, en 1938, les jeunes fascistes ne se trouvaient pas seulement dans les troupes d'Adrien Arcand.   Il y avait aussi le groupe de La Nation, les Jeunesse patriote,  les Faisceaux républicains, et autres.   Des étudiants catholiques animés d’une ferveur mussolinienne qui n’hésitaient pas à  saboter les réunions des «communistes»,  ou à casser les vitrines des librairies «socialistes» ou des commerçants juifs.  Ils étaient appuyés en sous-main par  des membres de la haute hiérarchie catholique et par une pléthore de professeurs, aumôniers et prêtres de toutes sortes. 

Juste avant la guerre, une bonne partie de la bourgeoisie et du clergé manifeste une sympathie active pour le fascisme et l'antisémitisme.   Mais le petit peuple ne suit pas.  Et le petit peuple, dans la pièce, c'est Rose, Jovette, Ernest et la troupe, cette troupe en tournée que le curé Fecteau veut absolument empêcher de jouer à St-Laurent de Kent.


louise pelletier

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